lundi 26 septembre 2011

Au grès de votre imagination (mai 2005)


Quand je viens te voir, je suis énervé au moins 1 heure avant
Tout est préparé, je me suis faite belle
Enduite de cette huile qui me fait douce la peau
Je me deshabille lentement
M’allonge sur ton bord, tu me rechauffes en un instant
 Mon corps est trop chaud il rougit subitement 
Je me lève et plonge dans ton intérieur

De bas en haut, je ne suis plus que frissons
Comme il est bon de se laisser aller
Mon dos porte encore la trace de ton écume
Je retourne m’allonger et ferme les yeux
Comme je suis bien !!!
Dans un moment, je me retournerai…
Ajusterai mes lunettes de soleil
Je pourrai matter
Pas l’horizon !         non non non
Toi la mer attends moi j’arrive
Belle quand tu es calme et superbe à regarder
Quand tu te déchaines
On ne se lasse pas de te regarder



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